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اللهُ أكبرُ اللهُ أكبرُ اللهُ أكبرُ، لا إلهَ إلَّا الله، واللهُ أكبر اللهُ أكبر، ولله الحَمد _ كتاب بوارق الحقائق لطاهر الأنفاس سيدى الرواس اضغط هنا للقراءة كتاب بوارق الحقائق


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L’Imâm Ahmad Ibn `Atâ’illâh As-Sakandarî

soufisme sunnite


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Un porte-parole du Soufisme
À ses débuts, Ibn `Atâ’illâh avait peu d’affinité pour la discipline du soufisme et fut même hostile envers certains prétendants à cette voie, notamment certains disciples d’Abû Al-`Abbâs Al-Mursî. Mais la présence d’Abû Al-`Abbâs Al-Mursî et d’Ibn `Atâ’illâh à Alexandrie rendait leur rencontre inévitable. Un jour, Ibn `Atâ’illâh se rendit à une exhortation délivrée par Abû Al-`Abbâs Al-Mursî, le successeur de Sheikh Abû Al-Hasan Ash-Shâdhilî et l’éducateur de l’ordre Shâdhilite en pleine expansion. Ce fut le tournant de sa vie. Le juriste malékite goutta à la saveur des vérités prononcées par Al-Mursî et fut séduit par le soufisme, pour le reste de ses jours. Ibn `Atâ’illâh suivit les enseignements d’Al-Mursî et ne cessa de cheminer auprès de son maître dont il devint en peu de temps le disciple le plus intime. On dit à cet égard qu’Ibn `Atâ’illâh fut pour Al-Mursî ce que ce dernier fut pour Ash-Shâdhilî, à savoir le dépositaire de son savoir et l’héritier de sa gnose. Du vivant de son maître, Ibn `Atâ’illâh devint une autorité respectée dans le soufisme. En témoigne son célèbre ouvrage Al-Hikam composé avant la mort d’Al-Mursî. Alors que les deux premiers Sheikhs de la Shâdhiliyyah restèrent à Alexandrie, Ibn `Atâ’illâh se déplaça entre le Caire et Alexandrie. Juriste et soufi de renom, il enseigna à diverses institutions religieuses de la capitale, comme Al-Azhar ou l’École Al-Mansuriyyah, sans compter ses nombreuses exhortations publiques.
Rien ne semble perturber la vie de l’Imâm Ibn `Atâ’illâh au Caire. Son enseignement de la jurisprudence malékite et ses exhortations soufies font vibrer les cœurs et lui valent une grande popularité. Seulement certaines positions controversées d’Ibn Taymiyyah, accusé d’anthropomorphisme et emprisonné à la Citadelle du Caire, parvinrent à Ibn `Atâ’illâh. Il s’y opposa fermement et il aurait décidé de se rendre dans une grande congrégation de savants et de soufis à la Citadelle pour discuter avec Ibn Taymiyyah. Cependant, aucune trace de ces débats présumés ne semble exister dans les sources biographiques anciennces qui se
ent de faire allusion à la farouche opposition d’Ibn `Atâ’illâh à Ibn Taymiyyah.


Ses Disciples
Comme son propre maître, Ibn `Atâ’illâh se charga personnellement de l’éducation de ses disciples sur la voie de la purification de l’être et du cheminement vers Dieu. En sa qualité de troisième Sheikh de la confrérie Shâdhilite, son héritage spirituel s’étend jusqu’à nos jours dans les chaînes initiatiques de cet ordre. Parmi ses disciples, certains devinrent des éducateurs accomplis et prolongèrent cette chaîne spirituelle vivante. Son successeur immédiat fut Sheikh Sharaf Ad-Dîn Dâwûd Al-Bâkhilî (d. 732 A.H), l’auteur de `Uyûn Al-Haqâ’iq. Ses disciples comptèrent aussi le prédicateur et savant du Hadîth Sheikh Shihâb Ad-Dîn Ahmad Ibn Maylaq (d. 749 A.H.). Parmi les illustres savants qui s’initièrent auprès de lui, figure le Sheikh de l’Islam Taqiyy Ad-Dîn As-Subkî. Ce dernier fut un grand admirateur de son Sheikh et lui dédia une poème élogieux que son fils, l’Imâm Tâj Ad-Dîn As-Subkî, rapporta dans Tabaqât Ash-Shâfi`iyyah

Bibliographie
De nombreux soufis s’abstinrent d’écrire, pensant que leur mission essentielle était d’éduquer leurs disciples, de les guider vers la Porte du Miséricordieux. Ils n’écrivirent pas de livres, ils formèrent des gnostiques. Ibn `Atâ’illâh échappa à cette pratique que les deux premiers Sheikhs de la Shâdhiliyyah observèrent. Écrivain talentueux, savant au pied ferme, porte-parole des soufis, il est le premier auteur de la Shâdhiliyyah. Bien que ses ouvrages soient peu nombreux, ils témoignent de l’abondance de sa sagesse, de la richesse de ses enseignements et de son talent immense




Ses ouvrages.
Al-Hikam
Les Aphorismes ou Les Maximes
Ce joyau de la spiritualité islamique est son œuvre maîtresse que nous aborderons avec de plus amples détails dans cette biographie.
Miftâh Al-Falâh wa Misbâh Al-Arwâh
La Clef du Succès et la Lampe des Esprits
Cet ouvrage traite du dhikr chez les soufis, s’appuyant sur le Noble Coran, les hadiths prophétiques, et des paroles des premiers soufis. Il fut composé pendant la dernière décennie de sa vie.
At-Tanwîr fî Isqât At-Tadbîr
L’illumination in l’élimination de la Gestion Propre
Cet ouvrage traite de nombreuses vertus que l’itinérant doit faire siennes, comme la patience, la sincérité, l’espérance, l’amour ou la crainte. Le fil conducteur de cet ouvrage est la réalisation parfaite de la soumission à Dieu, au point que toute volonté propre s’annule et que la volonté de l’itinérant s’aligne sur la Volonté de Dieu.
Latâ’if Al-Minan
Les Bienfaits Subtiles
Ouvrage biographique compilant quelques vertus et dires d’Abû Al-`Abbâs Al-Mursî et de son Sheikh Abû Al-Hasan Ash-Shâdhilî. Cet ouvrage retrace par la même occasion le paysage religieux de l’époque de l’Imâm Ibn `Atâ’illâh.
Al-Qasd Al-Mujarrad fî Ma`rifat Al-Ism Al-Mufrad
Cet ouvrage traite du Nom Suprême et des relations entre les différents Noms et Attributs divins.
Tâj Al-`Arûs Al-Hâwî li-Tahdhîb An-Nufûs
Il s’agit essentiellement d’une compilation de passages extraits de quelques-uns de ses autres ouvrages.
`Unwân At-Tawfîq fî Adâb At-Tarîq

Il s’agit d’un commentaire du précieux poème du Sheikh Abû Madyan où il retrace l’éthique que l’itinérant doit observer avec son Sheikh et ses compagnons [1].
L’Imâm As-Suyûtî cita parmi les ouvrages d’Ibn `Atâ’illâh Al-Marqâ Ilâ Al-Quds Al-Abqâ et un ouvrage de fiqh intitulé Mukhtasar Tahdhîb Al-Mudawwanah d’Al-Barâdi`î



à suivre.....














التوقيع

***قال لقمان لابنه: يا بنى جالس العلماء، وزاحمهم بركبتيك، فإن الله يحيى القلوب بنور الحكمة، كما يحيى الأرض الميتة بوابل السماء***

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Al-Hikam : Œuvre maîtresse
Le livre des Hikam est l’œuvre la plus connue de l’Imâm Ibn `Atâ’illâh. Il est consacré au savoir spirituel par excellence, décliné selon trois thèmes dominants : la perfection de la compréhension du Monothéisme, l’éthique et les nobles manières, le cheminement vers Dieu et ses principes [2]. Il y déversa la quintessence de sa gnose et des vérités subtiles qu’il acquit pendant son cheminement. Son influence dépassa les cercles de la Shâdhiliyyah et ne cessa de motiver des commentaires de nombreux savants musulmans au fil des siècles.
Le mot Hikam est le pluriel de Hikmah qui signifie sagesse, ou encore, maxime ou aphorisme, selon le con t e x t e. Trois styles se succèdent dans ce petit ouvrage : les aphorismes à proprement parler, quatre courtes épîtres, et une série de suppliques émouvantes. Les aphorismes sont énoncés dans un style concis, incisif, élégant, rythmé et appelant à la méditation profonde. Chaque aphorisme énoncé vise à raffiner la foi ou l’éthique, à élever l’énergie spirituelle de l’aspirant, à parfaire sa connaissance de Dieu, ou à défaire certaines pratiques. Dans leur succession, les aphorismes s’apparentent aux perles d’un collier spirituel précieux. Il dit par exemple dans ses aphorismes :
« Parmi les signes montrant que tu comptes sur tes œuvres, figure l’affaiblissement de ton espérance lorsqu’un faux-pas survient. »
Ou encore : « Tes efforts pour ce qu’Il t’a garanti et ta négligence à l’égard de ce qu’Il t’a demandé sont des signes de l’aveuglement de ta clairvoyance (basîrah). »
Les quatre épîtres qui succèdent aux aphorismes apportent des réponses à des questions soulevées par ses disciples. Dans un style plus contracté, mais toujours élégant, ces épîtres constituent une agréable transition entre les aphorismes et les suppliques qui clôturent l’ouvrage. Dans ses suppliques ou entretiens intimes, Ibn `Atâ’illâh fait montre d’une soumission totale et d’une pauvreté en Dieu. Il pleure ses manquements et l’insignifiance de son être devant la Suprême Magnificence du Créateur. Par ses questions rhétoriques, Ibn `Atâ’illâh appelle son lecteur et ses disciples à mieux connaître Dieu, l’Initiateur. Dans cette pauvreté envers Lui, dans cette réalisation de notre faiblesse, dans ce brisement de l’ego dénudé, l’aspirant trouvera sa sérénité et sa paix intérieure.
Ce livre inspira de nombreux commentaires et continue, de nos jours, à motiver maintes analyses. Le premier commentaire des Hikam serait Tathbît Al-Himam bi-Tabyîn Ma`ânî Al-Hikam, composé par le grammairien, Shams Ad-Dîn Ibn `Abd Ar-Rahmân Ibn As-Sâ’igh (708-776 A.H., 1375-1308 E.C.).
Parmi les commentaires d’Al-Hikam, il y a aussi :
Ghayth Al-Mawâhib Al-`Aliyyah, par Sheikh Ibn `Abbâd Ar-Rundî (733-792 A.H., 1333-1390 E.C.).
Al-Futûhât Ar-Rahmâniyyah, par Sheikh Ahmad Zarrûq (846-899 A.H., 1442-1493 E.C.) qui composa aussi d’autres commentaires d’Al-Hikam comme Miftâh Al-Fadâ’il [3].
Sharh Al-Hikam, par le Grand Imâm d’Al-Azhar Sheikh `Abd Allâh Ash-Sharqâwî (1150-1227 A.H., 1737-1812 E.C.).
Iqâdh Al-Himam, par Sheikh Ibn `Ajîbah (1160-1224 A.H., 1747-1809 A.H.).
Sharh Al-Hikam, par Sheikh Hasan Ibn Mukhaddim (1260-1331 A.H., 1844-1913 E.C.), un savant de Hadramout.
Sharh Al-Hikam, par Sheikh `Abd Al-Majîd Ash-Sharnûbî (d. 1348 A.H., 1929 E.C.), un savant et un juriste malékite.
Sharh Al-Hikam, par Sheikh Muhammad Sa`îd Ramadân Al-Bûtî [4].
Commentaire oral de certains aphorismes par Dr. `Umar `Abd Al-Kâfî.
Commentaire oral des Hikam par Sheikh `Umar Ibn Hafîdh.
On peut également écouter l’énconcé des Hikam en ligne, au grand profit de nos visiteurs non-voyants




Témoignages
L’Imâm Tâj Ad-Dîn As-Subkî, le fils du Sheikh de l’Islam Taqiyy Ad-Dîn As-Subkî, dit dans Tabaqât Ash-Shâfi`iyyah Al-Kubrâ : « Sheikh Tâj Ad-Dîn Abû Al-Fadl, Ahmad Ibn Muhammad Ibn `Abd Al-Karîm Ibn `Atâ’illâh, le résident d’Alexandrie. J’estime qu’il fut shaféite, mais on dit qu’il était malékite [5]. Il fut le maître du Sheikh, l’Imâm, mon père, en matière de soufisme. Il fut un gnostique, aux signes subtils. Il accomplit de nombreux prodiges et avait un pied ferme dans la discipline du soufisme. Il accompagna Sheikh Abû Al-`Abbâs Al-Mursî, le disciple du Sheikh Abû Al-Hasan Ash-Shâdhilî, et s’initia auprès de lui. Sheikh Tâj Ad-Dîn s’installa au Caire pour éduquer et exhorter les gens. On lui doit des expressions sublimes que ses disciples consignèrent dans des ouvrages. »

As-Safadî dit dans A`yân Al-`Asr wa A`wân An-Nasr : « Le Sheikh, le gnostique, Tâj Ad-Dîn Abû Al-Fadl d’Alexandrie. Ce fut un homme pieux, ayant une gustation spirituelle raffinée. Ses paroles apaisaient les cœurs et ravivaient la flamme des Amoureux. Il s’installait sur une chaire d’enseignement dans les mosquées et muselait les déviants. Il avait une grande connaissance des paroles des pieux prédécesseurs et celles des soufies. La brise parfumée de ses discours éveillait la nostalgie amoureuse (shawq) dans de nombreux cœurs et effaçait par les larmes des péchés abondants. Ce fut un homme de vertu, manifestant les signes de la droiture. Il fut un disciple du Sheikh Abû Al-`Abbâs Al-Mursî, le compagnon d’Ash-Shâdhilî. Il fut aussi un grand opposant du Sheikh Taqiyy Ad-Dîn Ibn Taymiyyah, et inspirait beaucoup de respect par la force de son caractère. Il demeura ainsi jusqu’au jour où cette expression éloquente se tut et les étoiles de ces signes s’éteignirent. Il décéda, puisse Dieu lui faire miséricorde le 11 Jumadah II 709 A.H., à l’École Mansûriyyah au Caire. »

L’Imam As-Suyûtî dit de lui dans Husn Al-Muhâdarah fî Akhbâr Misr wal-Qâhirah : « Sheikh Tâj Ad-Dîn Ibn `Atâ’illâh, Abû Al-`Abbâs Ahmad Ibn Muhammad Ibn `Abd Al-Karîm Al-Judhamî d’Alexandrie, l’Imâm et l’orateur selon la voie d’Ash-Shâdhilî. Il réunit toutes sortes de sciences, comme l’exégèse, le Hadîth, la grammaire, les fondements, la jurisprudence selon l’école malékite. Il accompagna en matière de soufisme Sheikh Abû Al-`Abbâs Al-Mursî, qui fut la merveille de son temps. At-Taqiyy As-Subkî s’initia auprès de lui. »

En rapportant les événements qui survinrent en 709 A.H., Ibn At-Taghrî Bardî dit : « Le Sheikh, le modèle, le sieur connaisseur de Dieu — Exalté soit-Il —, Abû Al-Fadl Ahmad Ibn Muhammad Ibn `Abd Al-Karîm d’Alexandrie, le malékite, le soufi, le prédicateur, l’éducateur, décéda cette année, pendant le mois de Jumadah II, et fut enterré dans la Qarâfah. Sa tombe est connue et les gens lui rendent visite. Ce fut un homme pieux et un savant. Il s’installait sur une chaire et une foule nombreuse assistait à ses prêches. Son exhortation avait un grand impact sur les cœurs et il avait une parfaite connaissance des paroles des gens versés dans les vérités spirituelles et les maîtres de la voie. On lui doit une poésie agréable, dans le style des soufis, et son cortège funéraire fut très imposant. L’un de ses poèmes commence par ces vers :
Mon ami ! La caravane partit à grande allure, alors que nous sommes assis là, que feras-tu donc ?
Acceptes-tu de rester après eux, tourmenté par tes espoirs et ton amour ardent ?
Voici la langue de l’univers affirmant tout haut que toutes les créatures sont des voiles. » [6]
Puisse Dieu lui faire miséricorde et éclairer sa tombe
P.-S.
Sources :
Ibn `Atâ’illâh’s Sufi Aphorisms (Kitâb Al-Hikam), traduit et annoté par Victor Danner, préfacé par Martin Lings.
Tabaqât Ash-Shâfi`iyyah Al-Kubrâ, par Sheikh Tâj Ad-Dîn As-Subkî.
A`yân Al-`Asr wa A`wân An-Nasr, par As-Safadî.
Husn Al-Muhâdarah fî Akhbâr Misr wal-Qâhirah, par l’Imâm As-Suyûtî.
An-Nujûm Az-Zâhirah fi Mulûk Misr wal-Qâhirah, par Ibn At-Taghrî Bardî.
Al-A`lâm, par Az-Zarkalî.
Ad-Durar Al-Kâminah, par l’Imâm Ibn Hajar Al-`Asqalânî.

Notes
[1] Ce commentaire est disponible en ligne sur le site almoslem.net. Ce poème fut par ailleurs augmenté par Sheikh Ibn `Arabî selon la technique du takhmîs.
[2] Voir le commentaire des Hikam par Sheikh Muhammad Sa`îd Ramadân Al-Bûtî.
[3] Hadiyyat Al-`Ârifîn d’Al-Bâbânî.
[4] Le lecteur trouvera des extraits de ce commentaire sur le site bouti.com.
[5] Contrairement à l’idee répandue, l’Imâm Tâj Ad-Dîn As-Subkî semble douter de l’affiliation d’Ibn `Atâ’illâh à l’école malékite. C’est la raison pour laquelle il lui réserve une notice biographique dans son ouvrage dédié aux générations de savants shaféites.

.[6]An-Nujûm Az-Zâhirah fi Mulûk Misr wal-Qâhirah






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***قال لقمان لابنه: يا بنى جالس العلماء، وزاحمهم بركبتيك، فإن الله يحيى القلوب بنور الحكمة، كما يحيى الأرض الميتة بوابل السماء***

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